dimanche 15 mars 2009

La manifestation contre la brutalité policière

Je pensais que le COBP encourageait le grabuge auparavant. Sur place j'ai constaté le contraire. Par un microphone, j'ai bien entendu de la part d'un organisateur que tout acte de vandalisme, méfait et voie de fait sont passible à une poursuite au tribunal. Je vouyais que certains journalistes exagéraient les faits. Bien sûr, il y a les révoltés qui connaissent plus ou moins leur droits en traitant les policiers de chiens sales et certains d'entre eux font tout pour que ça tourne au vinaigre. Ça l'a occasioné une panne de métro à deux reprise lorsque j'y étais. Je voulais me rendre à l'Universite de Montréal afin de modifier mon blogue, le pire dans tout ça, la chauffeure d'autobus était toute mêlée dans son chemin à cause du déroutage.

En sortant du métro Mont-Royal, un individu m'a confirmé qu'un policier s'est fait asperger de peinture sur son habit qui coûte cher, le gars m'a dit que ça coûtait au moins 150$ mais ça reste à verifier. J'ai vu une voiture de police se faire arroser de peinture. Celui qui me parlait du sort d'un agent de la paix m'a clairement dit que les manifestants étaient mals organisés. J'arrivais pour prendre l'autobus 51 qui passe normalement au métro Laurier et c'était impossible de le prendre.

À la fin de cette article, je vous laisse sur la recommandation de Tom Metzger à propos de l'interogatoire de la police.












Pour répondre à la question de cette banderole, le silence ou sinon la présence d'un avocat.























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