samedi 18 juillet 2009

Quand Gilles Proulx parle des assistés sociaux

Bien souvent quand Gilles Proulx parle des assistés sociaux, il ne sait pas de quoi il parle. Que ça soit des salariés à faible revenu ou des assistés sociaux, ils n'ont pas le goût de travailler dans les fermes parce que le Québécois qui a un faible revenu pense au loyer qu'il a à payer et je suis sûr que Gilles Proulx n'a pas de corne sur les mains. Il a plutôt fait aller sa langue plutôt que faire aller ses mains. J'aimerais ça voir cette surprise afin que je puisse constater qu'il n'a jamais fait de vrai jour de travail en voyant ses mains. Pour donner le goût à un Québécois de travailler sur une ferme, il faudrait bien qu'il soit nourri et logé. Avec cet avantage, il y aurait un peu moins de Mexicain dans les champs mais on dirait bien qu'un fermier ne veut pas permettre aux Québécois d'être nourri et logé comme les Mexicains. Je suis sûr qu'il est à sa pension et il ne voudrait jamais faire ce genre de travail lui même.



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