Qu'un tel veut travailler ou ne pas travailler ça ne me dérange pas. Ce que je n'aime pas, ce sont les assistés sociaux qui m'appellent ou qui viennent me voir pour me dire qu'ils s'ennuient et qu'ils ne veulent rien faire pour se désennuyer. Dire qu'à Montréal, il y a plein de sortie gratuite, la piscine y est gratuite et la bibliothèque. Ces gens-là se trouvent des excuses de rester chez eux. Ça me donne un coup de fil pour me dire qu'ils s'ennuient et quand je leur propose quelque chose d'intéressant ces gens-là ne veulent rien faire. Oui, dans le fond ne rien foutre, c'est de l'entraînement, l'individu devient bon et il trouve un plaisir. L'affaire dans tout ça, la personne ne s'améliore pas au point d'être très bien entraînée à devenir ennuyante.
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