Laissez moi vous dire que je me suis amusé lorsque je suis allé voir un spectacle fétish et burlesque. J'imaginais le plaisir qu'avait les personnages qui ont joués sur cette scène au petit campus. Le spectacle s'appelle les cults sirènes. Benoît Chénier semblait content d'avoir entendu dire de ma bouche que je souhaitais voir ce genre de spectacle au centre Bell. Bien sûr, pour certains ça peut sembler choquant mais pour miniser le tabou que la société impose la meilleure chose à faire c'est d'imaginer le plaisir qu'on eu ces comédien(ne)s. Personnellement depuis le temps que je connais quelques personnes qui font la pièce, ça m'a permis de ne pas me soucier des tabous qu'imposent le monde conservateurs. Avant je m'inquiétais ce que certaines personnes disaient de mes goûts anticonformistes. Ayant lu que Matthew Saliba était un producteur sans honte qui se traduit en anglais shameless producer ou filmmaker, c'était là qu'il m'a fait vraiment comprendre de ne pas avoir peur d'être soi-même.
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